Il fallait bien que ça arrive, le répit n'aura durée qu'une grosse semaine. bien peu en regard des 2 mois très difficiles qui ont précédé cette petite accalmie. La question n'est finalement plus de savoir ce que je vais endurer, mais combien de temps avant la prochaine accalmie? Si la vie doit être résumée à quelques semaines d'a peu près vivable par an, quel intérêt? Le corps me fait sentir qu'il a besoin de souffler. A peine 2 nuits où je me suis levé plus fatigué qu'au couché et je me sens déjà aussi vaillant qu'un vieillard, là où ce résultat n'était perceptible qu'après 2 semaines "d'apnées" il y a un an à peine. Si le corps défaille, je ne vois plus ce qui peut rattraper l'esprit qui n'est plus guère brillant depuis bien trop de temps déjà. Rideau!