Samedi j'ai consulté mon ORL, et là je dois bien reconnaitre que ma psy avait tout juste lorsqu'elle me disait que les patients souffrant d'acs étaient les "mal-aimés". La souffrance endurée n'a d'égal que l'espoir que l'on mets entre les mains de son praticien. Alors quand la discussion s'achève sur : "Dans votre cas, il n'y a rien à faire, il faut vivre avec ... ", je crois que tout est dit sur la volonté de ce doc à s'impliquer davantage. Bref, je préfère en rester là pour aujourd'hui, ça me mine suffisamment le moral d'être si peu considéré.